On entend pas souvent l'ex chanteur des Sex Pistols parler de son ancien et décédé compère Sid Vicious, le "pas trop bassiste" et "beaucoup héroinomane" du groupe, mort par overdose en 79, en attendant son procès pour le meurtre de sa petite amie.
Aujourd'hui, John Lydon raconte dans la presse, comment la descente aux enfers de Vicious aurait pu être évitée si ce dernier avait rencontré son idole, Lou Reed, la cause de son amour pour les drogues : " Sid n'avait qu'une raison d'être, c'etait "la drogue, c'est tout pour la drogue", comme il disait. Tout ça parce qu'il avait un disque de Lou Reed, et qu'il croyait à cette image de drogué que Lou dégageait et qui fascinait Sid. Sa chute aurait pu être évitée si il avait eu la chance de rencontrer Lou Reed et de savoir ce qu'il etait en train de faire. Il ne se serait jamais amusé avec l'héroine si il avait vu quelle gros tas de boue inutile Lou Reed est, en réalité."
Ah ah ! Bon, sur que John Lydon en train de reformer PIL a besoin qu'on parle de lui, et c'est toujours drôle de le lire, plus que de l'ecouter, ou même de le voir vendre du beurre dans des pubs.
1 commentaires:
C'est clair que bcp d'acteurs du punk étaient inspirés par les gloires (droguées) des années 70 comme Bowie, Morrison ou Lou Reed, mais de là à dire que l'addiction de Sid était due à son admiration pour ce dernier, c'est carrement du foutage de gueule. Car le personnage de Sid Vicious était complétement instrumentalisé par Malcolm Mac Laren, ça parait assez évident. Bon ce commentaire pseudo-provoc ne m'étonne guère venant de la part de Johnny pourri le bien nommé. De toute façon j'ai toujours préféré The Clash aux Pistols, tellement plus sincère et meilleurs musiciens.
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